• les RCE, la reussite de Valerie P.

    c'est en tout cas ce que l'on entent partout....

     

    http://lorient.letelegramme.com/local/morbihan/lorient/ville/deficit-l-ubs-tire-la-sonnette-d-alarme-19-10-2011-1469658.php


  • Commentaires

    1
    Annulco Profil de Annulco
    Jeudi 20 Octobre 2011 à 18:19

    J'ai mis ton post dans le dossier autonomie... tout n'est pas que syndicat.... (bien que je sais qu'on met tout dans syndicat en ce moment)

    sans dec, j'avais aussi envie de poster cet article, alarmant, mais en remplaçant UBS par ULCO

    ON EST TOUS DES GRECS BRETONS !!!!

    2
    lechevalierblanc Profil de lechevalierblanc
    Vendredi 21 Octobre 2011 à 08:57


     


     

    l'article ne sera pas en ligne longtemps, aussi le voila :

     

    Quotidien 'le Telegramme'

     

    Déficit.L'UBS tire la sonnette d'alarme

     

    19 octobre 2011 à 09h10

     


     

    Moins de deux ans après son passage à l'autonomie, l'Université de Bretagne-Sud tremble sur ses bases. La direction n'arrive plus à faire face à sa masse salariale. Et annonce le gel d'une vingtaine de postes en 2012 et la fermeture probable de formations.

     

     

     

     

     

     

     

    À peine autonome et déjà en crise! À l'Université de Bretagne-Sud, passée sous le régime de l'autonomie en janvier2010, les finances sont dans le rouge. Et le moral au plus bas. L'information a été dévoilée par la présidence de l'UBS, à la suite d'une réunion de l'équipe de direction, lundi dernier. En cause: l'université n'arrive plus à faire face au surcoût de sa masse salariale. Un mal budgétaire qui ronge bien d'autres sites en France. Mais qui prend des proportions inquiétantes dans le Morbihan, en raison d'un budget déjà très serré.

    Un dépassement de 250.000 €

    «On vit une crise systémique», dénonce Olivier Sire, le président de l'UBS qui pointe du doigt les effets néfastes de la loi LRU, portant sur l'organisation de la nouvelle université. À l'origine de ce raté budgétaire, les changements d'indices et des avancements de carrière du personnel réalisés par l'université. Cette procédure réglementaire a eu pour effet mécanique d'augmenter les dépenses salariales. Or, les moyens accordés par le ministère sont restés les mêmes qu'en 2010. Dans le cas de l'UBS, la facture est estimée à 250.000€ de surcoût. Une somme qui manque à l'appel pour boucler un budget de 67M€ dont 41M€ consacrés à la masse salariale (près de 900 emplois). La faute à qui? «Pas à l'université, tranche Olivier Sire, le président de l'UBS. Nous n'avons fait qu'appliquer la loi. Depuis mars, nous avons alerté notre tutelle des risques de dérapage. La ministre Valérie Pécresse m'avait promis une réponse rapide. Depuis son départ, j'attends toujours. On joue avec nos nerfs».

    «Le ministère nous lâche»

    Pour le président de l'UBS, la gestion de l'université n'est pas en cause. La défaillance serait du côté de l'État, coupable à ses yeux «de nous lâcher au milieu du gué alors que les équipes mettaient la dernière main au projet d'établissement pour les cinq années à venir. Comment voulez-vous bâtir une stratégie et attirer de nouveaux chercheurs quand tous les services sont rabotés en postes?». La situation est d'autant plus préoccupante que l'UBS, contrainte de geler une vingtaine de postes, devait déjà faire face aux 144 emplois manquants depuis la réforme. Le ministère avait bien mis en face de chaque emploi une dotation de 25.000€. Une gageure, selon le président, qui évalue l'embauche d'un contractuel à 42.000 € par an et celui d'un professeur à 90.000 €.

    «Le personnel désespéré»

    À l'UBS, la pilule ne passe pas. Et l'examen de la loi de finances2012, «sous-dotée en moyens», fait craindre le pire pour une université qui a franchi la barre des 8.500 étudiants à la rentrée. Sans aide de l'État, l'établissement s'imagine déjà réduire la voilure et fermer des formations. «On va remettre en cause l'investissement des enseignants-chercheurs et notre travail sur l'insertion professionnelle. L'UBS était déjà à flux tendu. Il y a désormais beaucoup de désespoir sur les visages», met en garde Olivier Sire qui attend avec impatience un signe du ministère. Hier, Gwendal Rouillard, le député de Lorient, a interpellé le ministre sur une situation qu'il juge «préoccupante. C'est l'avenir de nos enfants et de nos territoires qui est en danger. Il y a, aujourd'hui, un risque réel d'asphyxie des universités».

     

     

     

    • Régis Nescop

     

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    3
    Alfonse Profil de Alfonse
    Vendredi 4 Novembre 2011 à 13:34

    Ce serait un échec s'il y avait eu volonté de réussir.

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